Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans
Abus de pouvoir très agréable
Auteur : piedestal Sandrine m'a asservi naturellement, sans ostentation ni violence. Simplement parce que sa supériorité sur moi lui semblait une évidence et que j'acceptais son autorité. Parce qu'elle avait toujours rêvé de posséder un homme-objet et que j'étais heureux de lui appartenir.
Tirant profit de mon attirance pour ses pieds et de l'adoration que je lui voue, elle m'utilise comme bon lui semble, comme un serviteur ou comme un objet. Je peux être pour elle un tabouret, un escabeau, un tapis de bain, un repose-pieds, une descente de lit. Depuis qu'elle a fait de moi son esclave, rares sont les fois où elle a tendu ses jolis pieds nus vers le sol sans rencontrer mon corps ou mon visage.
Sandrine aime particulièrement m'utiliser comme un coussin. Elle s'installe en travers sur le canapé à deux places, en appuyant son dos contre de gros coussins. Je m'agenouille au sol, à l'autre bout du canapé et je m'incline pour reposer ma tête sur l'assise. Sandrine n'a plus alors qu'à poser ses pieds sur ma tête comme sur un simple coussin. Cette position devient rapidement inconfortable pour moi, mais elle n'en a cure : je ne suis plus pour elle qu'un objet qu'elle utilise pour son confort. Elle prend alors un magazine ou un livre et commence sa lecture...
Hier par exemple, elle lisait un magazine féminin. Avant qu'elle ne plaque ses pieds contre le côté de mon visage, j'ai eu le temps de voir sur la couverture qu'il contenait un article sur la violence conjugale... Quelle ironie... Qu'aurait pensé l'auteur de cet article voyant Sandrine installée comme une princesse, utilisant ma tête comme un vulgaire coussin pour y appuyer ses pieds ? J'ignore si elle lisait l'article en question, mais je la sentais nerveuse. Elle remuait ses orteils, les pressant fortement contre ma joue offerte. Par moments elle crispait ses doigts de pied de telle manière que je sentais ses ongles dur s'enfoncer dans ma chair.
Sandrine n'est pas sadique, mais il lui arrive d'être cruelle : tout dépend de son humeur ou des ses envies... Je me souviens encore de cette soirée où elle m'avait déchiré la poitrine avec les ongles de ses pieds, juste "pour le plaisir" parce qu'elle avait envie de me faire mal après une journée difficile... ou de cette autre fois lorsqu'elle s'était "amusée" à vriller dans mes tétons les talons hauts de ses escarpins que j'avais omis de nettoyer. En principe, ces accès de pure cruauté sont rares. Ils ne surviennent que si quelque chose l'a contrariée ou mise en colère. Lorsque mes services lui déplaisent, une simple paire de gifles ou un coup de pied suffisent largement comme
dérivatifs.
Tout en lisant, elle s'est mise à frotter distraitement ses pieds contre mon visage et dans mes cheveux. C'est une forme de massage qu'elle affectionne. Le frottement pesant qu'elle me fait subir m'échauffe le visage et m'écrase plus encore dans l'assise du fauteuil, mais j'ai pris l'habitude de ce traitement. Je sens la moiteur des pieds de Sandrine contre ma peau et leur odeur envahit mes narines. Il faut dire que dans cette position, il m'est impossible de faire autrement que de respirer l'odeur des pieds de ma maîtresse ! Elle peut me garder ainsi très longtemps, à demi etouffé par la pression permanente de la plante de ses pieds sur ma figure. Hier pourtant, elle a interrompu sa lecture et retiré un instant ses pieds de mon visage. J'étais encore tout étourdi et il m'a fallu quelques instants pour que je reprenne mes esprits et que j'ouvre les yeux. Sandrine me regardait avec un sourire étrange. A ma grande surprise, elle m'a demandé de m'approcher d'elle. J'ai obéi, en prenant bien soin de rester toujours à genoux car je sais qu'elle détesterait avoir à lever les yeux vers moi... Lorsque j'ai été vraiment tout proche d'elle, elle m'a demandé de l'embrasser. C'est un privilège rare au milieu d'une séance de lecture et je ne me suis pas méfié. Sandrine est si séduisante lorsqu'elle demande à être embrassée ! Hélas, lorsque j'ai approché mon visage d'elle, elle a fait une moue dégoûtée et m'a repoussé
"Beurk, tu pues les pieds !" Humilié, je me suis éloigné d'elle. Sandrine avait un sourire méchant.Elle s'essuie les pieds sur moi depuis suffisament longtemps pour ne pas pouvoir avoir pu êtresurprise de sentir leur odeur sur ma peau... Elle m'avait donc tendu ce piège cruel dans le seulbut de m'humilier, sans que je sache pourquoi... Elle m'a congédié d'un geste méprisant de la main "Retourne à ta place..." La pause était finie. L'instant d'après, je redevenais un coussin...
Lorsqu'elle a reposé ses pieds sur mon visage, j'ai senti que Sandrine ne s'en tiendrait pas à une simple humiliation psychologique. Elle pressait ses pieds très fort sur ma tête, comme si elle voulait m'étouffer en m'incrustant dans le coussin du fauteuil. Elle a ensuite piétiné ma figure lourdement, lentement, avant de recommencer à essuyer ses pieds sur mon visage comme s'il n'était pas déjà suffisament imprégné de leur odeur. Il était clair à cet instant qu'elle n'avait pas repris sa lecture. Elle a retiré un pied de ma figure, maintenant le second fermement pressé au niveau de mes yeux, puis j'ai senti ses ongles s'enfoncer dans mes lèvres pour me forcer à ouvrir la bouche. Je ne résiste plus que pour la forme à cette pression, parce que je sais qu'elle aime "violer" ma bouche avec ses pieds. Mais elle m'a fait saigner une fois en me griffant cruellement pour n'avoir pas voulu accepter ses pieds dans ma bouche parce qu'ils étaient sales... Je sais depuis qu'il est préférable de savoir doser ma résistance, car toute mauvaise volonté de ma part serait douloureusement punie.
J'ai donc entrouvert ma bouche et elle y a enfoncé son pied avec un petit mot satisfait d'approbation. Elle a joué à m'attraper la langue entre deux orteils et à essayer de la tirer hors de ma bouche. Même en faisant de mon mieux pour lui faciliter la tâche, je n'ai pas pu éviter des griffures de toutes sortes. Les ongles de ses orteils sont vraiment tranchants et elle me défend de les couper trop courts, si bien que je les sentais me griffer la langue lorsqu'elle tentait de la pincer pour l'immobiliser entre ses doigts de pied. Ce petit jeu l'a amusée un moment, et je l'entendais rire lorsque ma langue lui échappait. Par la suite, elle a reposé son pied gauche sur ma figure en m'écrasant la bouche sous son talon et a retiré l'autre pied de mes yeux. Je me sentais incroyablement vulnérable, tour à tour immobilisé puis maltraité, utilisé sans comprendre la raison de ces jeux cruels. Maintenant ma tête pressée sous son pied gauche, Sandrine a approché son pied droit très près, vraiment très près de mes yeux. Je voyais ses ongles longs et un peu sales à à peine quelques millimètres de mon oeil gauche, celui qui était au niveau du coussin du fauteuil. J'aurais presque pu les effleurer avec mes cils. Sandrine a remué ses doigts de pied juste devant mon oeil, tenant ma tête captive pour m'empêcher de reculer. Elle a alors suggéré qu'il serait amusant de me griffer les yeux puis à éclaté d'un rire méchant...
A ce stade, je ne savais toujours pas ce qui me valait ce luxe de cruauté, mais la réponse est venue quelques instants après, après une série de gifles assénées tour à tour par chacun de ses pieds. Sandrine s'amusait tout simplement à tester l'étendue de son pouvoir sur moi. Elle se délectait à étaler sa puissance, à se montrer à elle-même à quel point elle me contrôlait et pouvait faire ce qu'elle voulait de moi. Tous ces coups, toutes ces humiliations n'étaient destinés qu'à faire la démonstration de sa capacité à m'utiliser comme bon lui semblait et à me traiter comme un vulgaire défouloir sans même que je ne me révolte. Et la cause de tous ces mauvais traitements inhabituels était bien en rapport avec le magazine qu'elle avait lu...
En effet, après qu'elle eut laissé mon visage en feu après une rapide succession de coups de pied, la plante de ses pieds claquant sur mes joues avec un bruit sec, Sandrine se cala plus confortablement dans ses coussins et laissa tomber un ordre plus classique, d'un ton méprisant : "Lèche-moi les pieds !"
Je compris à cet instant que la punition était finie. Je me mis docilement à lécher le pied qu'elle me présentait et à caresser ses orteils avec ma langue. Elle me regarda un instant, satisfaite avant de laisser tomber pensivement une réflexion qui me permit de comprendre la raison de sa flambée de mauvaise humeur : "Quand je pense qu'il y a des femmes battues..."
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